Solennité de l’Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, 15 août 2020
Lectures : Apocalypse 11,19a et 12,1-6a.10ab ; Psaume 44 ; 1Co 15,20-27a
Évangile selon saint Luc 1,39-56
Homélie du frère Jean-Christophe de Nadaï
Le Puissant fit pour moi des merveilles. Marie savait bien sans doute que le Puissant n’allait pas borner là le cours de ses merveilles pour elle : elle les méditait dans son cœur, selon le principal effet de cette crainte de Dieu dont elle parle ici ; ce Dieu dont l’amour, dit-elle, s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Mais sans doute elle ne devinait pas que cet amour de Dieu irait jusqu’à lui faire partager la destinée du Premier Né d’entre les morts, en son assomption, que l’Église célèbre aujourd’hui…